En regardant l'argent qu'il possède dans sa bourse, Alexsius n'a pas vraiment beaucoup de choix. Il se décide donc pour l'arc certe basique mais qu'il trouve assez bien maniable et à son gout.
HRP : Je ne vous impose plus forcément le jeu à tour de rôle, comme vous le voyez. Mais cependant, vous remarquerez que celui-ci reste très souvent naturel. C'est à vous de réfléchir pour que vous restiez toujours au même niveau de jeu. par exemple, là, Johann n'a pas nécessairement quelque chose à dire. Évidemment puisqu'il s'agit d'une vente. Toutefois, il peut tout de même donner son avis sur la chose ou autre.
HJ: c'était mieux sans moi pour la vente, parce qu'avec le Bac Blanc, le code et la JAPD...
Johann observait les armes, un peu perplexe. Valaient-elle le prix annoncé ? Une fois que l'artisan partit recherche d'autres armes, Johann interrogea son compagnon.
Alexsius, penses-tu que ces armes soient bon marché? Ne pourrait-il pas te rouler?
Après avoir fini de payer, il range soigneusement sa nouvelle arme et se retourne ves Johann.
Hé bien pour ma part, je pense que la plupart de ces arme valent le prix. Mais après comme celle-ci (en montrant le premier arc que lui a montré le vendeur) elle est, à mon gout, trop cher. Sinon tu as trouvé quelques choses qui t'as intéressé ? Maintenant que j'ai fais mon achat j'ai tout mon temps.
Alexsius sourit légèremment quand Johann lui avait dit d'être doué en affaire. Il arrive certainement à s'y débrouiller mais il n'a jamais été un proffesionnel des prix, loin de là.
Ha mais tu sais, je ne m'y connais pas énormemment. Bon et bien je pense que nous allons pouvoir partir de cette ville. Plus rien ne nous y retiens enfin après tout, tu est libre de choisir.
Dernière édition par Alexsius le Jeu 13 Mai - 21:39, édité 2 fois
Alexsius devient tout d'un coup pensif. Et dire qu'il avait presque oublié cette nouvelle avec cette jeune elfe.
A mon avis ce n'est pas une simple rumeur. Tu vas peut être me trouver bizarre mais je crois à cette nouvelle. Et puis ce serai absolumment merveilleux de rencontrer la Déesse Shallya. Tu ne penses pas ?
Content que son compagnon soit du même avis que lui, il se demande cependant si Johann sera toujours d'accord. Enfin, le principal problème qui le dérangeait était de ne pas savoir où aller.
Le seul problème, c'est que nous n'avons toujours pas de piste. Qu'est-ce que tu penses que nous devrions faire ? De mon côté, je n'en n'ai pas la moindre idée.
Le marchand se mêla à la conversation des deux héros.
Si vous voulez mon avis, la jeune elfe dont tout le monde parle n'arrivera pas avant un bon moment à Altdorf. Elle n'y arrivera même peut être pas du tout. D'après ce que j'ai entendu, les conditions climatiques ne sont vraiment pas favorables pour une traversée. Espérons qu'elle arrive saine et sauve. Quoi qu'il en soit, il lui faudra même en temps normal 3 à 6 jour de marche en fonction de ce qui lui reste à parcourir.
Le marchand avait raison, elle ne devrait pas arriver tout de suite. Il faudra être patient pour la rencontrer. Il sort de ses pensées quand le vendeur lui avait adressé la parole. Il prit d'un mouvement sec les flèches posées sur le contoir.
Dites, pourriez vous nous indiquez le chemin pour aller vers une auberge assez près du temple ?
Vous savez je ne suis pas d'ici, je ne connais pas beaucoup cette cité. Et vous savez ce qu'on dit, la meilleur des auberge, c'est celle de notre habitude ou il y a de la place ! Passez une bonne journée messieurs.
Vous le voyer se diriger vers un autre client. Du coin de l'œil, vous apercevez le paysan de tout à l'heure. Il semble parler de vous étant donné que il s'adresse à deux milicien en vous regardant.
Ce paysan, comme l'a dit Johann, cherche vraiment les noises et il savait que cette histoire allait se terminer dans ce genre de situation. Malgré cela, Alexsius ne compte pas se laisser impressionner par un pauvre paysan.
Ni l'un ni l'autre Johann. Viens, allons discuter avec ce misérable paysan. J'ai deux mots à aller dire.
HRP : je n'impose pas vraiment les lignes. J'aime simplement de la qualité et de la lisibilité dans la disposition des messages.
En voyant approcher Alexsius et Johann, les deux miliciens dégainent leur épée et les pointent vert l'avant. une demi-douzaine de mètres séparent les deux duos. Le paysan se rétracte à l'arrière.
« Pas un pas de plus, Canaille ! dit le premier milicien. — Vous allez simplement et sagement payer l'amande de 10 po chacun pour avoir maltraité cet honnête paysan. »
Regardant Alexsius, Johann lui fit signe qu'il n'avait pas l'argent. En fait, il voyait comme solution l'agression rapide et efficace, sans trop de douleur, des miliciens et du paysan.
Les deux hommes commencèrent à prendre la fuite, les milicien les suivirent. Une course poursuite s'engagea. ils arrivèrent dans une partie de la ville qui leur offrait deux issue. La première, une clôture qu'il pourrait escalader mais sans doute avec difficulté en raison de la courte distance qui séparaient les deux milicien derrière eux. L'autre passage donnait sur une petite ruelle assez sombre mais qui semblait plus simple d'accès que l'escalade de ce grillage. Personne ne circulait dans cette ruelle.
Pour escalader le grillage, Test d'escalade (-30%)
Il continue à courir tout droit quand il s'apperçoit que le chemin se divise en deux. A gauche, une grande grille bloque la ruelle et comme Alexsius n'avait pas un fort en escalade, il n'y a plus de raison d'hésiter. Il se dirige donc vers le chemin de droite qui est fort sombre et désert. Si personne n'y circule et personne n'ose y aller alors peut etre que les miliciens ne les poursuivront plus, mais il doute bien que si aucun individu n'y pénêtre, c'est qu'il y a une bien raison.